Ralph Lauren sur son 32.
Ben ouais, à force de nous en mettre plein la vue, à un moment un RL se met bien plus que sur son 31. Et peut-être même que la prochaine fois, je mettrai 33 si ça continue. Héritage sportswear, mix des cultures, bon-chic-bon-genre-mais-surtout-bon-chic, Ralph Lauren définit l’Homme moderne par son histoire et son intemporalité. Ca tout le monde le sait. Ce que l’on sait moins, c’est que derrière chaque campagne, dont chaque photo est l’équivalent inspirationnel contemporain d’une illustration de Leyendecker, se cache évidemment un photographe – non, en fait c’est logique, donc vous le saviez aussi. L’un d’entre eux est Arnaldo Anaya-Lucca, en contrat depuis longtemps avec la RL Corporation et donc auteur de la plupart des campagnes de ces dernières années. Avec son oeil, son stylisme coloré et ses choix de lieux parfaits, il met en vit le lifestyle Ralph Lauren, gardant l’essence même de la marque, sobre mais distinguée. Et ce n’est pas cet éditorial réalisé pour le magazine ODDA avec Alex Loomans (modèle récurrent de RL) qui dérogera à la règle : cols ronds blancs, costumes croisés ou trois-pièces, veste safari, chemise à motif, blouson en croco, pantalons à pince, c’est propre, très propre… Mais pas trop, pour que vous puissiez vous dire qu’en fait, vous pourriez porter tout ça tel quel dans la vraie vie. On se revoit à mon retour d’Italie. Plein de smileys qui font des bisous à tous.